et lettre manuscrite envoyée le :
Réponse reçue : aucune
À Madame la Maire de Rennes, Nathalie Appéré
À Monsieur le Président de Rennes métropole, Emmanuel Couet
À Monsieur le Président de la CCI Ille et Vilaine
En qualité de personnes libres, de citoyennes et citoyens, en qualité d'habitantes et d'habitants de Rennes, nous vous demandons de nous recevoir afin d'ouvrir un dialogue et des concertations sur l'implantation d'un atelier Google à Rennes.
Nos libertés et nos droits ne pourraient souffrir d'une absence de citoyenneté face aux enjeux en présence.
Nos inquiétudes sont nombreuses et nous les avons documentées librement dans ce wiki. Elles sont ouvertes publiquement à la consultation, à la modification, à la réutilisation.
Pour vous faire part de raisons de notre demande, nous avons de grandes inquiétudes et nous souhaitons un dialogue libre et ouvert sur les questions suivantes :
Notre de travail, en qualité d'humain libre et de citoyenne et citoyens, continue chaque jour sur cette plateforme de documentation. Nous savons également que l'argument de formation tenu par Google est faux et qu'en plus de nombreuses structures Rennaises et non Rennaises, collectifs, associations, entreprises, assurent déjà des formations numériques.
Nous vous demandons, car vous avez mandat démocratique par nos faits pour diriger, protéger, administrer à Rennes, de nous recevoir afin d'ouvrir un dialogue sur les enjeux évoqués dans cette lettre ouverte.
Dans l'attente de vous lire, nous citoyennes et citoyens de Rennes et de France, nous vous adressons nos vœux sincères de libertés et de démocratie.
Aucune au 9 juin 2018
Auto critique à posteriori de cette lettre
Elle est fra(î/n)chement radicale, avec des arguments qui sont frappants, et c'est positif. Le lien direct argument ↔ source n'est pas assez clair, du coupon a du mal à voir en quoi chaque truc documenté soutient le point correspondant dans la lettre. De plus, très peu de faits documentés sont vraiment illégaux, donc on peut arguer que ce n'est qu'une différence d'opinion (tracking, optimisation fiscale légale…).
Si l'on peut comprendre les inquiétudes du courrier, mais plus difficilement la forme.
Enfin, on ne comprend pas 1° l'attente claire (à part “ouvrir un dialogue”) ni 2° de quoi les destinataires seraient vraiment responsables (c'est pas de leur décision propre qu'un atelier google s'implante, ils sont juste contents que ça arrive).